A seulement la vingtaine, Paul Morlet étonne le monde, grâce à son entreprise de lunettes simples, et pourtant, authentiques: des paires personnalisables, en un temps record.

Un début pour trouver sa réussite

A sa majorité, Paul Morlet s’en sort avec un BEP en électrique. Il décide de participer, pendant deux années, à une formation dans la SNCF. Grâce à un Contrat à Durée Indéterminé, au sein du SMIC, il réalise que les lunettes devraient être personnalisables. De jour en jour, il vient à cogiter dans ce domaine, et se laisse emporter par ses idées créatrices. Ainsi, il se voit déjà avec sa propre marque. Il ne s’arrête, néanmoins pas, dans ses rêveries. Il va, de suite, concrétiser son rêve. Simplement, il commence sa réussite avec des lunettes moins onéreuses, en ajoutant sur les verres, des autocollants micro-perforés. De cette initiative publicitaire, ainsi que de ses petits sous en poche, il fait naître sa marque originelle : Lulu Frenchie.

De nature révolutionnaire, il ne s’est pas limité aux aspects réalistes du marché de l’optique. Tandis que d’autres se seraient arrêtés à ce stade, il persévère, en usant intelligemment des opportunités qu’offrent les réseaux sociaux. En effet, la visibilité qu’offre le monde virtuel lui a permis d’appâter les stars du web. Il reste judicieux de s'informer, pour plus d’informations. Ces grands noms internationaux, donc, ont fait son buzz, jusqu’à le propulser, en seulement une année, à atteindre un chiffre d’affaires d’un million.

 

La chance tourne aux audacieux

L’audace ne peut avoir que du génie, et le parcours de paul morlet en est une preuve. Lorsque son nom devient la pomme à croquer du moment, il aspire à plus encore. Xavier Niel, le miroir qu’il regarde dans ses plus grands projets, croise sa route. Sans nulle hésitation, il plaide son rêve. En moins d’un quart d’heure, l’actionnaire lui tend la main. Paul Morlet management devient une réelle innovation, en permettant l’obtention de lunettes sur-mesure, en une dizaine de minutes. Il faut savoir que le temps, manipulé de manière efficiente, fournit des résultats, toujours positifs.

De par la rapidité du processus et de la qualité du produit, la satisfaction clientèle est assurée. En réalité donc, Paul Morlet a eu l’idée d’user des besoins des personnes qui n’ont guère le temps, pour combler ses propres besoins. Actuellement, si un opticien a du mal à dépasser la vente de deux paires de lunettes, en une journée, le jeune entrepreneur, lui, atteint les 300, quotidiennement. La machinerie pour la fabrication de ses paires ne lui a pris que trois mois, tandis que généralement, cela faudrait, au moins, deux années.

 

Un visionnaire, plus qu’ambitieux

Paul Morlet voit les choses autrement, et ne s’agite qu’à sa manière. Corps et âme, il s’attaque aux demandes des clients, et ne cesse de combler les manques. Quand vient le temps, pour son unique magasin d’ouvrir ses portes, une paire de lunettes de vue est à la portée de 10 euros. Il débute et continue dans sa voie, jusqu’à pouvoir ouvrir deux magasins, chaque mois. D’ailleurs, si à ce jour, son entreprise s’active avec 400 employés, les prévisions soutiennent les 800 salariés, au terme de cette année. Il grimpe les échelons, avec une telle rapidité que dans le monde des opticiens, il prend la sixième place en vente de lunettes, en France. Il ne va pas sans dire que ses projets visent encore plus loin, et encore plus haut.

Bien que le marché de l’optique à l’international soit très concurrentiel, paul morlet n’est pas un démotivé. Au contraire, cela le stimule encore plus. Il prévoit de trouver sa place dans le commerce de l’audition, si ce n’est dans celui du dentaire. Pendant ce temps, il patiente avec des propositions intéressantes. Il dispose de 500 montures en boutique, offre une étude complète et gratuite de la vue, sans besoin d’une ordonnance, ni encore moins d’un délai, des modèles uniques pour chaque client… le tout, en temps record et en résultat qualitatif.

 

Un conseil ? Ne jamais hésiter

En réalité, nombreux sont ceux de son entourage à essayer de le démotiver, dans son projet. Notamment ses parents, qui lui ont conseillé de trouver autre chose, étant donné la crise. Aussi, des lunettes personnalisées , pour quoi faire et qui en voudraient ? paul morlet, pourtant, n’a pas retenu la remarque. Il s’est dit qu’un travail qui ne risque pas de durer ne l’intéressait point. Sans parler de sa motivation, s’il lapidait son temps dans un domaine qui ne le stimule à peine. Il faut, quand même, reconnaître que le jeune créatif reconnaissait l’importance de se prendre en main.

Il a, de ce fait, pris le temps de se renseigner sur les démarches administratives nécessaires. Vite fait, soit en deux mois, Paul Morlet management officialise son entreprise en l’immatriculant à la chambre du commerce et de l’industrie. Durant ces mois, il perfectionne le projet du Lulu Frenchie, grâce à la confection de lunettes ordinaires. 5 000 paires qu’il envoie un peu partout, et qu’il retrouve en ornement de certains artistes.